中国诗词古训法语说法

时间:2010-03-04  来源:法语  阅读:
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安得广厦千万间,大庇天下寒士俱欢颜。(唐·杜甫《茅屋为秋风所破歌》)


Que j’aimerais avoir des millions de logis spacieux pour abriter tous les lettrés pauvres et les rendre heureux!


本自同根生,相煎何太急。(三国魏· 曹植 《七步诗》)


Nous sommes issus de la même racine, pourquoi vouloir nous brûler avec tant d’ardeur !


落霞与孤鹜齐飞,秋水共长天一色。(唐·王勃《滕王阁序》)


Un canard sauvage passe solitaire dans les nuages au couchant ; la rivière ne peut secouer un prunier.


别有幽愁暗恨生,此时无声胜有声。(唐·白居易 《琵琶行》)


Une mélancolie émerge à notre insu ; alors le silence prime les murmures.


不到长城非好汉。(毛泽东《六盘山》)


On n’est pas homme tant qu’on n’a pas atteint la Grande Muraille.


不愤不启,不悱不发,举一隅不以三隅反,则不复也。(《论语·述而》)


Je n’éclaire que les enthousiastes ; je ne guide que ceux qui brûlent de s’exprimer. Mais quand j’ai soulevé un angle de la question, si l’élève n’est pas capable d’en déduire les trois autres, je ne lui répète pas la leçon.


博学而笃志,切问而近思。(《论语·子张》)


Etendez votre savoir et affermissez votre résolution ; questionnez avec sincérité et réfléchissez sur ce qui est sous vos yeux.


不管风吹浪打,胜似闲庭信步。(毛泽东《水调歌头·游泳》)


A fendre les flots et le vent ; j’éprouve plus de plaisir qu’à faire un tour dans la cour.


不患人之不己知,患其不能也。(《论语·宪问》)


Ne vous affligez pas de ce que les autres vous ignorent, affligez-vous de votre incompétence.


不畏浮云遮望眼,只缘身在层。(宋·王安石《登飞来峰》)


Si je ne crains pas les nuages qui obscurcissent ma vue, c’est que moi je suis au-dessus de tout .


不在其位,不谋其政。(《论语·秦伯》)


Ne vous mêlez pas des décisions politiques qui ne sont pas de votre ressort.


采菊东篱下,悠然见南山。(东晋·陶渊明《饮酒》)


Cueillant sous la haie d’est des chrysanthèmes, à l’aise on voit les monts du sud qu’on aime.


曾经沧海难为水,除却巫山不是云。(唐·元缜《离思五首》)


Aucune mer n’est assez large quand tu as vu l’océan ; aucun nuage n »est aussi beau que celui qui couronne le sommet.


长江后浪推前浪,世上新人换旧人。(《增广昔时贤文》)


Comme les vagues en amont du Changjiang qui poussent celles en aval ; chaque nouvelle génération surpasse la précédente.


沉舟侧畔千帆过,病树前头万木春。(唐·刘禹锡《酬乐天扬州初逢席上见赠》)


Un millier de vaisseaux voguent à côté d’une épave ; des millions de fleurs s’épanouissent au pied de l’arbre abattu.


出师未捷身先死,长使英雄泪满襟。(唐·杜甫《蜀相》)


Il est mort avant de remporter la victoire ; tous les héros après lui ne peuvent que pleurer à chaudes larmes.


窗含西岭千秋雪, 门泊东吴万里船。(唐•杜甫《绝句四首•其三》)


Ma fenêtre encadre la neige des monts de l’ ouest, ma porte accueille les navires venant de l’est.


春蚕到死丝方尽,蜡炬成灰泪始干。(唐•李商隐《无题》)


Le ver meurt de soif d’amour, sa soie épuisée ; la chandelle ne pleure plus, à coeur brûlé.


春眠不觉晓,处处闻啼鸟。(唐•孟浩然《春晓》)


On dort à l’aube qu’il fait beau, pourquoi gémissent les oiseaux ?


此曲只应天上有,人间能得几回闻?(唐•杜甫《赠花卿》)


Seuls les cieux résonnent d’une telle mélodie, combien de fois l’homme peut-il y prêter l’ouïe ?


待到重阳日,还来就菊花。(唐•孟浩然《过故人庄》)


Quand reviendra la Fête du Double Neuf, les chrysanthèmes seront tout neufs.


道不同,不相为谋。(《论语·卫灵公》)


Sans principes à partager, ce n’est pas la peine de discuter.


雕栏玉砌应犹在,只是朱颜改。(南唐·李煜《虞美人》)


Les parapets sculptés et les escaliers de jade doivent y encore se dresser, mais les beaux visages sont sûrement fanés.


东边日出西边雨,道是无情却有情。(唐·刘禹锡《竹枝词》)


Soleil à l’est et pluie à l’ouest, froideur d’un côté et chaleur de l’autre.


独在异乡为异客,每逢佳节倍思亲。(唐·王维《九月九日忆山东兄弟》)


Seul, étranger sur la terre étrangère ; au jour de fête, que je pense aux miens!


尔曹身与名俱灭,不废江河万古流。(唐·杜甫《戏为六绝句·其二》)


Votre corps et votre nom disparaîtront, alors que les flots perdureront.


风物长宜放眼量。(毛泽东《七律-和柳亚子先生》)


Il faut avoir l’esprit large quant aux choses du monde.


工欲善其事,必先利其器(《论语-卫灵公》)


Un artisan qui veut faire du bon ouvrages, doit d’abord aiguiser ses outils.


姑苏城外寒山寺,夜半钟声到客船。(唐-张继《枫桥夜泊》)


En dehors des murs de SuZhou se dresse le Temple de la Montagne froide ; à minuit, les tintements de sa cloche parviennent au passager sur son navire.


海内存知己,天涯若比邻。(唐-王勃《送杜少府之任蜀州》)


Si l’on a un ami de coeur, on raccourcirait la distance.


海上生明月,天涯共此时。(唐-张九龄《望月怀远》)


La lune brille sur la mer ; si loin l’un de l’autre tous les deux nous la contemplons.


好雨知时节,当春乃发生。(唐• 杜甫《春夜喜雨》)


La pluie joyeuse arrive à temps, aux premiers jours du printemps.


何当共剪西窗烛,却话巴山夜雨时。(唐• 李商隐《夜雨寄北》)


Quand pourrons-nous moucher la bougie, et parler de cette nuit de pluie ?


横眉冷对千夫指,俯首甘为孺子牛。(鲁迅《自嘲》)


Fronçant les sourcils je défie froidement mille doigts accusateurs ; courbant l’échine comme un buffle obéissant je me mets au service des mineurs.


后生可畏,焉知来者之不如今也?(《论语•子罕》)


Ne sous-estimez pas vos cadets : qui vous dit en effet qu’un jour ils ne vous égaleront comme un buffle obéissant je me mets au service des mineurs.


后生可畏,焉知来者之不如今也?(《论语•子罕》)


Ne sous-estimez pas vos cadets : qui vous dit en effet qu’un jour ils ne vous égaleront pas ?


忽如一夜春风来,千树万树梨花开。(唐•岑参《白雪歌送武判官归京》)


Comme si la brise printanière, revenue dans la nuit, avait changé les poiriers en bouquets de fleurs blanches


虎踞龙盘今胜昔,天翻地覆慨而慷。(毛泽东《七律•人民解放军占领南京》)


Tigre assis et Dragon lové n’ont jamais été aussi forts ; Terre et ciel en sont transformés, quel triomphe et quel transport.


花径不曾缘客扫,蓬门今始为君开。(唐•杜甫《客至》)


Le sentier jonché de fleurs fanées n’a pas été balayé ; mon portail aujourd’hui ne s’ouvre que pour toi.


黄鹤一去不复返,白云千载空悠悠。(唐•崔颢《黄鹤楼》)


La grue jaune une fois partie ne reviendra plus jamais ; seuls des nuages blancs passent en vain chaque année.


回当凌绝顶,一览众山小。(唐•杜甫《望岳》)


Je dois atteindre la cime de la montagne ;sous mes pieds les plus hauts sommets paraissent rapetisser.sommets paraissent rapetisser.


己所不欲,勿施于人。(《论语•颜渊》)


Ne faites pas à autrui ce que vous n’aimeriez pas que l’on vous fasse.


江山如此多娇,引无数英雄竞折腰。(毛泽东《沁园春•雪》)


La patrie est si charmante et si belle, que de nombreux héros se sont inclinés devant elle.


酒逢知己千杯少,话不投机半句多。


Pour un véritable ami, mille toasts ce n’est pas encore assez ; dans une conversation désagréable, un seul mot c’est déjà un de trop.


旧时王谢堂前燕,飞入寻常百姓家。(唐•刘禹锡《金陵五题•乌衣巷》)


Les hirondelles qui dans les jours anciens effleuraient de leurs ailes les gouttières colorées, plongent aujourd’hui jusque sur les seuils des humbles demeures.


君子不以言举人,不以人废言。(《论语•卫灵公》)


L"homme juste n"approuve pas un individu parce qu"il soutient une certaine opinion ni ne rejette une opinion parce qu"elle émane d"un certain individu.


君子成人之美,不成人之恶。(《论语·颜渊》)


L’homme juste développe ce qu’il y a de beau chez les gens, il n développe pas ce qu’ils ont de mauvais.


君子以文会友,以友辅仁。(《论语·颜渊》)


Grâce à sa culture, l’homme juste se fait des amis ; avec eux, il se perfectionne dans la vertu suprême.


礼之用,和为贵。(《论语·学而》)


Dans la pratique des rites, ce qui compte, c‘est l’harmonie.


两岸猿声啼不住,轻舟已过万重山。(唐·李白《早发白帝城》)


Sous les cris incessants des gibbons sur les deux rives, la frêle embarcation a déjà franchi de nombreuses montagnes.


蚂蚁缘槐夸大国,蚍蜉撼树谈何易。(毛泽东《满江红·和郭沫若同志》〉


La fourmi se vante de son grand sophora ; l’éphémère ne peut secouer un prunier.


民以食为天。(《汉书·郦食其传》)


Les gens considèrent la nourriture comme le paradis./ Pour les gens ordinaires la nourriture c’est le paradis.


敏而好学,不耻下问。(《论语·公治长》)


Il était intelligent, il aimait l’étude, et il ne rougissait pas de s’instruire auprès de ses inférieurs.


敏于事而慎于言。(《论语·学而》)


Diligent aux affaires et circonspect dans ses propos.


名不正则言不顺,言不顺则事不成。(《论语·子路》)


Quand les noms ne sont pas corrects, le langage est sans objet. Quand le langage est sans objet, les affaires ne peuvent être menées à bien.


莫愁前路无知己,天下谁人不识君。(唐·高适《别董大二首》)


N’aie pas peur de ne plus rencontrer des amis de coeur, partout dans le monde, tu trouveras des connaisseurs.


默而识之,学而不厌,诲人不倦,何有于我哉。(《论语·述而》)


Engranger le savoir en silence, étudier sans trêve, enseigner inlassablement : tout cela ne me coûte guère.


南朝四百八十寺,多少楼台烟雨中。(唐·杜牧《江南春绝句》)


Parmi les 480 temples des dynasties du sud, beaucoup se dressent au milieu de la brume et de la pluie.


其身正,不令而行。(《论语·子路》)


Il est droit : tout marche sans qu’il n’ait rien à commander.


千呼万唤始出来,犹抱琵琶半遮面。(唐·白居易《琵琶行》)


Elle n’apparaît qu’après nos appels répétés ; par le pipa son visage est à moitié voilé.


前不见古人,后不见来者。(唐·陈子昂《登幽州台歌》)


Je ne vois ni les sages d’autrefois, ni les héros à venir après moi.


墙上芦苇,头重脚轻根底浅;山间竹笋,嘴尖皮厚腹中空。


Le roseau qui poisse sur le mur a la tête lourde, la tige fine et la racine superficielle ; la pousse de bambou sur la colline a la langue pointue, la peau épaisse et la tige creuse.


俏也不争春,只把春来报,(毛泽东《卜算子·咏梅》)


La fleur ne prétend pas que le printemps soit sien ; elle ne fait qu’annoncer son arrivée.


穷则独善其身,达则兼济天下。(《孟子·尽心上》)


Pauvre, on se cultive en solitaire ; riche, on favorise le monde entier.


人而无信,不知其可也。(《论语·为政》)


Je ne vois pas ce qu’on pourrait faire d’un homme qui ne tient pas sa parole.


人面不知何处去,桃花依旧笑春风。(唐·崔护《题都城南庄》)


Je ne sais où est le joli minois de l’année dernière ; seules les fleurs me sourient dans la brise printanière.


人生代代无穷已,江月年年只相似。(唐·张若虚《春江花月夜》)


Les générations naissent et meurent ; d’année en année les lunes se ressemblent, anciennes et nouvelles.


人无远虑,必有近忧。(《论语·卫灵公》)


Qui ne se préoccupe pas de l’avenir lointain, se condamne aux soucis immédiats.


日出江花红胜火,春来江水绿如蓝。(唐·白居易《忆江南》)


Au lever du soleil les fleurs rouges sur la rive resplendissent comme du feu ; au printemps les vagues vertes de la rivière prennent la teinte de l’émeraude.


三人行,必有我师焉。择其善者而从之,其不善者而改之。(《论语·述而》)


Deux hommes marchent avec moi : chacun d’eux a nécessairement quelque chose à m’enseigner. Les qualités de l’un me serviront de modèle, les défauts de l’autres d’avertissment.


三思而后行。(《论语·公治长》)


Réfléchissez toujours trois fois avant d’agir.


山重水复疑无路,柳暗花明又一村。(宋·陆游《游山西庄》)


Au moment où le voyageur épuisé abandonne tout espoir de retrouver la route, un village apparaît, l’attirant dans l’ombre des saules et l’exubérance des fleurs.


商人重利轻离别,前月浮梁买茶去。(唐·白居易《琵琶行》)


Apre au gain, le marchand n’a guère hésité à me quitter ; il partit le mois dernier acheter du thé.


十年磨一剑,霜刃未曾试。(唐·贾岛《剑客》)


Voilà dix ans que j’affûte mon épée, sans ne jamais l’avoir essayée.


世上无难事,只要肯登攀。(毛泽东《水调歌头·重上井冈山》)


Rien d’impossible sous les cieux pour qui s’efforce de gravir la pente.


逝者如斯夫!不舍昼夜。。(《论语·子罕》)


Oh, aller ainsi de l’avant, sans trêve, jour et nuit.


数风流人物,还看今朝。(毛泽东《沁园春·雪》)


Les personnages vraiment brillants sont tous de notre époque.


衰兰送客咸阳道,天若有情天亦老。(唐·李贺《金铜仙人辞汉歌》)


Sur la route, des orchidées fanées saluent le voyageur qui repart de xianyang ; le Ciel, s’il était sensible, lui aussi vieillirait.


谁言寸草心,报得三春晖。(唐·孟郊《游子吟》)


Qu’est-ce qu’un brin d’herbe paie en retour au bon soleil qui rayonne d’amour ?


四海之内,皆兄弟也。(《论语·颜渊》)


Sur cette Terre, tous les hommes sont frères.


岁寒,然后知松柏之后凋也。(《论语·子罕》)


Vienne l’hiver, et vous découvrirez la verdure du pin et du cyprès.


踏遍青山人未老,风景这边独好。(毛泽东《清平乐·会昌》)


Nous avons parcouru tant de monts sans vieillir. La vue d’ici est on ne peut meilleure.


踏破铁鞋无觅处,得来全不费功夫。(明·冯梦龙《警世通言》)


On peut user plusieurs paires de chaussures à poursuivre de vaines recherches et trouver finalement par hasard ce qu’on avait perdu.


天长地久有时尽,此恨绵绵无绝期。(唐·白居易《长恨歌》)


La terre et le ciel ne pourront durer sans fin. Quand pourra-t-on oublier cet éternel chagrin ?

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